SantéRe: Les études sur le propylène glycol

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Amanda
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Les études sur le propylène glycol

Message par Amanda » lun. 10 sept. 2012, 21:45

"Le propylène glycol est utilisé dans la désinfection de l'air et la désinfection des surfaces dures et le di-propylène glycol est utilisé dans la désinfection de l'air."

"Le propylène glycol et le di-propylène glycol ont été référencés en 1950 et 1959 par la FDA pour utilisation dans les hôpitaux comme désinfectants de l'air."

"Le propylène glycol est utilisé sur sites pour utilisations suivantes :
- traitement de l'air (établissements de restauration, hôpitaux, commerces, institutions, ménage, salle de bains; locaux et équipements médicaux, commerciaux, institutionnels et industriels)
- traitement de surfaces non poreuses (salle de bains); automobiles, filtres de conditionnement d'air
- traitement animaux de compagnie, chats, chiens et oiseaux
- environnement : surfaces dures inanimées, poubelles / stockage

Les cibles : bactéries responsables des odeurs, les puces, les acariens, les poux rouges, les bactéries pathogènes d'origine animale (G-et G+ végétative), bactéries Shigella, bactéries Listeria Pasteurella, herpès simplex I et II, virus animaux, virus grippal A2, champignons Aspergillus Niger, moisissures / mildiou, Pseudomonas spp., Shigella flexneri, Shigella sonnei. "

Observations générales sur la toxicité :

Après avoir examiné les informations disponibles sur la toxicité, l'Agence de protection de l’Environnement a conclu qu'il n'y a pas de préoccupation pour l'exposition orale, cutanée ou par inhalation des propylène glycol et di-propylène glycol.
Cette conclusion est basée sur les résultats des essais de toxicité du propylène glycol et du di-propylène glycol au cours desquels des doses proches du seuil ou dépassant les limites de test (comme le prévoient les lignes directrices de la série 870 OPPTS) ont été utilisées pour des études expérimentales chez l'animal. Aucune toxicité significative n’a été observée. "

Cancérogénicité :

Un examen des données disponibles a montré que le propylène glycol et le di-propylène glycol sont négatifs pour la cancérogénicité au cours d’études menées par l'Agence jusqu'à la dose limite d'essais. Par conséquent, aucune autre analyse cancérogène n'est nécessaire ".
Rapport EPA 2007 http://www.epa.gov/oppsrrd1/reregistrat ... ol_red.pdf


Une prévention efficace contre la pneumonie, la grippe et autres maladies respiratoires est prometteuse suite à une série d'expériences menées au cours des trois dernières années à l'Université de Chicago Billings's Hospital. M.Oswald Hope Robertson a donné la semaine dernière la conclusion des tests d'un nouveau germicide sous forme de vapeur de propylène glycol pour stériliser l'air. Si les résultats obtenus jusqu'ici sont confirmés, l'une des plus importantes recherches de l'homme aboutira.

L'idée de stériliser l'air n'est pas nouvelle. Le grand incendie de Londres en 1666, par exemple, a été déclenché par des feux innombrables provoqués pour purger l'air de la peste. L'utilisation de pulvérisations de produits chimiques pour contrôler la contamination de l'air a d'abord été tenté en 1928 par trois médecins qui ont testés une fine brume d'eau de mer contenant de l'hypochlorite de sodium. Cette initiative a donné des résultats prometteurs, mais toutes ces recherches sont restées caduques durant une décennie. Au cours des dernières années, plusieurs groupes de recherches (notamment l'Université de Pennsylvanie) ont de nouveau commencé à tester différents sprays. De nombreux produits chimiques ont été trouvés pour tuer les micro-organismes aéroportés rapidement, même en concentrations aussi faibles qu'un gramme de produit chimique par 500 cu. pi d'air. Le problème est que tous ces germicides sentaient mauvais, étaient toxiques ou irritaient les voies respiratoires. La vapeur de propylène glycol du Dr Robertson est inodore, insipide, non toxique, non irritante, pas chère, très bactéricide.

Sa découverte a été accidentelle. M. Robertson et ses collègues ont essayé un autre germicide, un détergent ou un "savon sans savon" (similaire à Dreft, aérosols et autres produits couramment vendus pour usage domestique et industriel). Les solutions d'eau de lessive étaient modérément efficaces, de sorte que les chercheurs en sont arrivés à tenter des solutions de détergents dans du propylène glycol, une sorte de glycérine affinée. Les résultats ont été meilleurs. Puis les chercheurs ont constaté que le propylène glycol seul était un germicide puissant. Une partie de glycol dans 2.000.000 de parties d'air détruit des concentrations de pneumocoques, de streptocoques et de toutes autres sortes de bactéries.

Comment cela fonctionne-t-il ? Les bactéries des maladies respiratoires flottent dans de minuscules gouttelettes d'eau respirées, transportées par les éternuements et la salive. Le glycol flotte aussi dans des particules infiniment petites. Les calculs ont montré qu'en temps normal pour combattre ces gouttelettes, il faut deux à 200 heures pour obtenir une stérilisation de l'air. Là, la stérilisation a lieu en quelques secondes; le Dr Robertson a conclu que les gouttelettes de glycol dégagent des molécules de gaz qui se dissolvent dans les gouttelettes d'eau et tuent les germes.

M. Robertson a exposé des groupes de souris dans une chambre et pulvérisé de l'air chargé de propylène glycol, puis le virus de la grippe. Toutes les souris ont survécu. Puis il a pulvérisé le virus seul. Toutes les souris sont mortes.

Le propylène glycol est inoffensif pour l'homme lorsqu'il est avalé ou injecté. Il est également sans danger pour les souris qui l'ont respiré sur de longues périodes.
Mais la médecine est prudente : il y a encore un risque que le glycol s'accumule nocivement dans les poumons de l'homme alors que les souris l'élimine aisément.
Donc en juin, le Dr Robertson a commencé à étudier l'effet de la vapeur de glycol sur des singes importés de l'Université de Médecine Tropicale de Porto-Rico. Jusqu'à présent, après une exposition de plusieurs mois à la vapeur, les singes sont heureux et plus gros que jamais. M. Robertson ne s'attend pas à ce que l'humanité vive en permanence, comme ces singes, dans une atmosphère de vapeur de glycol, mais pense à son utilité dans des lieux très fréquentés comme les écoles ou les théâtres, où la plupart des maladies respiratoires sont contractées.

16 novembre 1942
http://www.time.com/time/magazine/artic ... -1,00.html

"En vue d’évaluer la sécurité des vapeurs de propylène glycol et de triéthylène glycol dans des environnements fréquentés par des êtres humains, des singes et des rats ont été exposés de façon continue à des concentrations élevées de ces vapeurs pour des périodes de 12 à 18 mois.
Un nombre égal d'animaux témoins ont été maintenus dans des conditions neutres.
Des tests de longue durée sur l'ingestion de triéthylène glycol ont également été effectués.
Les doses administrées représentaient 50 à 700 fois la quantité de glycol que l'animal pouvait absorber en respirant un air saturé de glycol.

Les observations comparatives sur les taux de croissance, numérations globulaires, examens d'urine, tests de la fonction rénale, fertilité et état général des groupes, ne présentaient pas de différences majeures, à l'exception du fait que les rats dans les atmosphères exposées au glycol avaient gagné en poids. "
http://jpet.aspetjournals.org/cgi/conte ... ct/91/1/52

«Un rapport d’étude sur 3 années d’application clinique de désinfection de l'air par des vapeurs de glycol dans un foyer pour enfants convalescents montre une réduction significative du nombre d'infections respiratoires aiguës dans les salles traitées avec propylène et triéthylène glycol.
Alors que dans les salles neutres, 132 infections sont survenues au cours des trois hivers, il y a eu seulement 13 cas dans les salles sous glycol pendant la même période. "
http://www.ajph.org/cgi/reprint/36/4/390.pdf
Propylène Glycol Toxicologie

2.2.1 Exposition par inhalation

L’information au sujet de l’exposition par inhalation du propylène glycol est très limitée. Aucune étude sur les effets sur la santé de l’homme n’a été trouvée. Quelques études sur les animaux existent : Konradova 1978, Robertson 1947, Suber 1989.

Effets systémiques

Aucune étude n’est disponible en matière respiratoire, cardio-vasculaire, gastro-intestinale, hématologique, musculaire, hépatique, rénale, dermatologique, oculaire, poids et effets métaboliques sur l’humain, ou cardio-vasculaire, musculaire, dermatologique, oculaire ou effets métaboliques sur les animaux après inhalation de PG.
Les plus hautes valeurs NOAEL et toutes les valeurs LOAEL liées pour les effets systémiques pour chaque espèce et période de test pour l’inhalation du PG se trouvent Table 2.1 et figure 2.1

Effets respiratoires

Les études évaluant les effets indésirables respiratoires après exposition de l'animal par inhalation au PG ne sont pas concluantes.
Les effets de l'exposition aiguë par inhalation à des concentrations de 10% de propylène glycol pendant 20 à 120 minutes chez le lapin ont montré une augmentation du nombre de cellules caliciformes dégénérées dans la doublure de la trachée (Konradova et al., 1978). Cependant, les observations faites chez les rats après une exposition par inhalation intermédiaire de propylène glycol n'appuient pas ces conclusions. Les rats qui ont inhalé 321 ppm de propylène glycol plus de 90 jours ont présenté un épaississement de l’épithélium respiratoire avec cellules caliciformes élargies (Suber et al., 1989). Une hémorragie nasale était également présente chez les rats exposés à une dose plus faible de 51 ppm de propylène glycol, probablement causée par la déshydratation. Chez des singes rhésus et le rat, l'exposition continue à des concentrations de propylène glycol allant jusqu'à 112 ppm pendant 13 à 18 mois n’a provoqué aucun effet indésirable sur le système respiratoire (Robertson et al. 1947). Ces études n'inspirent aucune inquiétude car des conditions d'exposition comparables ne se produisent généralement pas au sein des populations.

Effets gastro-intestinaux

Chez les singes rhésus et le rat, l'exposition continue à des concentrations de propylène-glycol jusqu'à 112 ppm pendant 13 à 18 mois n'a entraîné aucun effet indésirable sur le système gastro-intestinal (Robertson 1947).

Effets hématologiques

Des informations limitées sont disponibles sur les effets hématologiques du propylène glycol. Les résultats des études chez l'animal indiquent que l'exposition chronique à des doses intermédiaires de propylène glycol peut entraîner une hémolyse des globules rouges (RBC). Après exposition par inhalation intermédiaire à 321 ppm de propylène glycol, le taux de globules blancs (WBC) des rats femelles a diminué, tandis que l'exposition à 707 ppm de propylène glycol a diminué les concentrations moyennes d'hémoglobine corpusculaire et de globules blancs ; aucune modification liée à la dose dans les globules rouges n’a été observée chez les rats mâles sous le même régime (Suber et al., 1989). Chez les singes rhésus, l'exposition continue à des concentrations de propylène glycol dans l'air jusqu'à 112 ppm pendant 13 mois a provoqué une augmentation de l'hémoglobine par rapport aux animaux témoins (Robertson et al. 1947). Ces résultats indiquent qu'il peut y avoir des différences selon les espèces en ce qui concerne l'effet du propylène glycol sur les globules rouges.

Effets hépatiques :

Les résultats des études chez l'animal montrent l'absence d'effets indésirables hépatiques chez les rats après une exposition par inhalation intermédiaire de 707ppm de propylène glycol (Suber et al., 1989). Chez les singes rhésus et les rats, l'exposition continue à des concentrations de propylène-glycol jusqu'à 112 ppm pendant 13à 18 mois n'a entraîné aucun effet indésirable sur le système hépatique (Robertson et al. 1947). Sur la base de ces résultats, on peut supposer que l'exposition chronique à des niveaux modérément élevés de propylène glycol n'aura pas d'effets indésirables hépatiques chez l’humain.
Il n'est pas clair de définir si l'hépato-toxicité se traduirait par une infection aiguë après une exposition à un taux élevé de propylène glycol. Puisque les taux de propylène glycol dans le voisinage d'un site de déchets dangereux serait probablement faible, il est peu probable que le propylène glycol induise des effets indésirables hépatiques chez les personnes vivant dans la région.

Effets rénaux

L'exposition par inhalation des rats à un taux intermédiaire de 707ppm de PG n'a pas provoqué d'effets indésirables rénaux (Suber et al., 1989), bien que le poids des reins ait diminué à 321 ppm chez les mâles et les femelles. Chez les singes rhésus et le rat, l'exposition continue à des concentrations de propylène glycol jusqu'à 112 ppm pendant 13 à 18 mois n’a provoqué aucun effet indésirable sur le système rénal (Robertson et al. 1947). Ces résultats indiquent que l'exposition à de faibles taux de propylène glycol qui peuvent être présents sur les sites de déchets dangereux n'est pas susceptible de causer des effets indésirables rénaux dans la population humaine vivant dans le voisinage.

Effets endocriniens

Chez les singes rhésus et le rat, l'exposition continue à des concentrations de propylène glycol jusqu'à 112 ppm pendant 13 à 18 mois n’a provoqué aucun effet indésirable sur le système endocrinien (Robertson et al. 1947).

Effets sur le poids

Les singes rhésus continuellement exposés à des concentrations atmosphériques de propylène-glycol jusqu'à 112 ppm pendant 13 mois ne présentaient pas d'effets indésirables sur le poids, alors que les rats exposés pendant 18 mois dans les mêmes conditions ont montré une diminution de 50% de leur poids (Robertson et al. 1947). L'exposition par inhalation à un taux intermédiaire de 321ppm des rats femelles a causé une diminution du poids. (Suber et al., 1989).

2.2.1.3 Effets immunologiques et lympho-réticulaire

Aucune étude n'a été spécifiquement effectuée relative à des effets immunologiques chez les humains ou les animaux après exposition par inhalation au propylène glycol.
Vingt-neuf singes ont été continuellement exposés à la vapeur de propylène glycol sur une période de 13 mois, à des doses de 32 à 112 ppm (Robertson et al. 1947). Il n'y eut aucun effet sur la rate.
De même, les rats exposés à 55-112 ppm de vapeur de propylène glycol en continu pendant 18 mois n'ont montré aucun effet sur la rate (Robertson et al. 1947). Des rats Sprague-Dawley jeunes, adultes et sains ont été répartis en 4 groupes de 19 mâles et 19 femelles. Trois groupes ont été exposés pendant 5 jours par semaine, 6 heures par jour pendant 13 semaines par le nez uniquement par inhalation d'aérosols à des concentrations moyennes cibles de 5 1, 321, ou 707 ppm de propylène glycol (Suber et al., 1989). Le quatrième groupe (groupe témoin) a été exposé à de l'air ambiant filtré et humidifié. Il n'y a eu aucun effet sur le poids de la rate.

Effets neurologiques

Aucune étude n’est disponible en matière neurologique

Effets sur la reproduction

Aucune étude n’est disponible en matière de reproduction suite à l’inhalation de PG.
Les rats blancs exposés en continu à des taux de 55-112 ppm de PG pendant 18 mois n’ont montré aucun effet indésirable sur la reproduction (Robertson 1947)

Effets sur le développement

Aucune étude n’est disponible en la matière.

Effets génotoxiques

Aucune étude n’est disponible en la matière

Cancer :

Aucune étude en la matière.

Etude toxicologique réalisée par le département de la Santé US en septembre 1997


http://www.atsdr.cdc.gov/toxprofiles/tp189.pdf

Un groupes de dix-neuf rats Sprague-Dawley de chaque sexe a été exposé par inhalation nasale uniquement à 0,0, 0,16, 1,0 et 2,2 mg de propylène glycol / litre d'air, pendant 6 heures / jour, 5 jours / semaine pendant 90 jours.
Il n'y a eu aucune différence significative de la fréquence respiratoire, du volume minute ou des volumes courants entre les groupes lors de l'exposition aux aérosols. L'uniformité des paramètres respiratoires entre les groupes selon les doses laisse entendre que les doses délivrées étaient proportionnels aux concentrations d'exposition.
Le poids moyen corporel n'était pas significativement différent du groupe témoin pour le groupe d'animaux mâles. Le poids corporel moyen des femelles exposées à 2,2 mg / litre apparaît significativement inférieur à celui des femelles témoins au jour 50. Cet effet, chez les rats femelles, est compatible avec une diminution de la consommation alimentaire des rats femelles soumises à forte exposition à compter du jour 43.
Des différences statistiquement significatives entre les groupes traités et témoins de certains paramètres hématologiques, de l’activité des enzymes sériques, d'autres paramètres sériques et du poids des organes n'ont pas montré de relation claire avec les doses.
Il y a eu une augmentation significative du nombre de cellules caliciformes ou une augmentation de la teneur en mucine des cellules caliciformes existantes dans les voies nasales des animaux à moyenne et haute exposition.
L'exposition à des concentrations supérieures de propylène glycol a causé une hémorragie nasale et un écoulement oculaire chez une forte proportion d'animaux, probablement en raison de la déshydratation des narines et des yeux.

Etude Suber – 1989


http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/2807102

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Re: Les études sur le propylène glycol

Message par patmanp » lun. 10 sept. 2012, 21:53

Ah minceeeeeeeeeee on va grossir mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr
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Re: Les études sur le propylène glycol

Message par mimiVap » lun. 10 sept. 2012, 21:54

Très intéressent, merci pour ces infos qui se veulent rassurantes ;)
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Re: Les études sur le propylène glycol

Message par neurolistic » lun. 10 sept. 2012, 21:55

A ce rythme, la e-cigarette va être déclarée d'utilité publique non ? :lol:
En tout cas une belle opposition entre ces études et les précédentes allégations sur les incidences pneumologiques. Ou plutôt une complémentarité.
On respire moins moins dans les dix minutes qui suivent la vapote, mais de façon plus saine ? Oula, ça va devenir compliqué les explications aux copains tentés par l'expérience.

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Re: Les études sur le propylène glycol

Message par Dam7s » lun. 10 sept. 2012, 21:59

Très sympathique résumé des articles sur l'inhalation de vapeurs de propylène glycol, merci Amanda :respect: !
------------------------------ Damien ------------------------------
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Re: Les études sur le propylène glycol

Message par Meph » lun. 10 sept. 2012, 22:01

Très intéressant tout ça ! merci :respect:
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Cuong
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Re: Les études sur le propylène glycol

Message par Cuong » lun. 10 sept. 2012, 22:03

Merci beaucoup pour ces articles ! JE pense que celà ouvrira les yeux a plus d'un !

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Re: Les études sur le propylène glycol

Message par olive 29 » lun. 10 sept. 2012, 22:10

Bientôt en vente à coté des produits homéopathiques :D :D
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Re: Les études sur le propylène glycol

Message par daviddu76 » lun. 10 sept. 2012, 22:15

Merci pour vos informations toujours très enrichissantes et poussées.
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joudjoud
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Re: Les études sur le propylène glycol

Message par joudjoud » lun. 10 sept. 2012, 22:17

Je suis presque sûr que les lobbies des industries de tabac et les fabriquants de "médicaments" de sevrage tabagique, diront que ces études datent d'avant "l'invention" de la cigarette électronique ... en oubliant qu'une étude scientifique sérieuse n'est pas un effet de mode et qu'elle reste valable dans le temps tant qu'il n'y a pas eu d'autres études aussi sérieuses qui viennent la contredire !

Merci Amanda :respect:

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